Aujourd'hui j'ai envie de partager avec vous comment je suis passée d’assistante sociale à thérapeute psychocorporelle ?

Si on m’avait dit, il y a quelques années, que je me lancerais dans l’accompagnement psychocorporel, je ne l’aurais peut-être pas cru… Pourtant, c’est un chemin qui s’est tracé naturellement, guidé par mon envie profonde d’aider autrement.

Mon premier métier, c’était assistante sociale. J’avais à cœur d’accompagner, d’être une oreille attentive, un soutien. Mais après un an dans ce milieu, quelque chose en moi s’épuisait. J’avais l’impression de ne pas pouvoir aider comme je l’aurais voulu, de toucher du doigt des souffrances profondes sans avoir les outils pour véritablement soulager celles qui en avaient besoin.

C’est là que j’ai décidé de suivre mon intuition et de me tourner vers ce qui m’a toujours passionnée : le corps. Le mouvement, l’anatomie, la philosophie du bien-être. J’ai donc entamé une première formation de professeur de yoga, d’abord en hatha et vinyasa yoga. Mais c’est un peu par hasard que j’ai découvert le yoga sensible aux traumatismes, et cette pratique a été une véritable révélation pour moi.

J’ai compris, à travers cette approche, pourquoi certaines personnes que j’avais accompagnées en tant qu’assistante sociale semblaient “bloquées” dans leurs difficultés. Le lien entre le corps et l’esprit, si essentiel à la guérison, était souvent rompu après un traumatisme.

Alors, j’ai continué à apprendre, à explorer. Je me suis formée en yoga sensible aux traumatismes, j’ai accompagné des femmes à se réapproprier leur corps et à avancer sur leur chemin de guérison. Et puis, ma curiosité m’a poussée encore plus loin : la régulation du système nerveux, la théorie polyvagale, la thérapie psychocorporelle.

Aujourd’hui, je sais que l’approche psychocorporelle n’est pas forcément la plus “sexy” dans le monde de la thérapie, et pourtant… Elle agit en profondeur, elle régule le système nerveux, elle transforme.

Ce parcours, je l’ai vécu comme une évidence. Je ne crois pas aux solutions superficielles. Je crois à une guérison qui passe par le corps, par la conscience, par la réconciliation avec soi-même.

Si toi aussi, tu ressens cette déconnexion, si tu as l’impression que ton corps et ton esprit ne parlent plus la même langue après ce que tu as vécu… Sache qu’il est possible de retrouver cet équilibre. Je suis là pour ça.

Pour en savoir plus sur le programme "Dompte ton Anxiété" et candidater à la prochaine session, visitez ce lien.

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Au plaisir de vous rencontrer !

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